La divine lumière astrale
De part de monde, il existe une multitude de phénomènes étranges
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joli
Par Anonyme, le 21.09.2011
c est vraiment super jolie et ca represente bien l amour ce que je vous souhaite a tous aimez vous fort
Par Anonyme, le 09.01.2010
vener sur mon blog minoulovalouki ss pour tou savoir sur le sexhttp://mino ulovaloukiss.c enterblog.net
Par minoulovaloukiss, le 07.01.2010
je profite de mon passage pour vous signaler que si vous voulez j'ai un blog ou vous pouvez trouver toute la m
Par daddy, le 05.01.2010
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# bonjour, c'est micklys #
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"je ne veux pas que ma maison soit murée de t
Par Micklys, le 11.07.2009
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Date de création : 30.06.2009
Dernière mise à jour :
08.05.2010
95 articles
Après de longs mois de travail, Ivan avait décidé de prendre deux semaines de vacances chez son oncle qui habité une modeste maison peinte en blanc crème, sur les bords de la Volga, plus au Sud-Est de Moscou. Ces quelques jours de repos en plein cœur de la nature et au calme de la ville, lui permettrait de se ressourcer. La maison était située en retrait des autres. Cet isolement était favorable à un repos complet.
Il poussa la porte en bois qui s’ouvrit en grinçant légèrement, et entra dans la demeure de son oncle. Celui-ci était dans le jardin, à l’arrière de la maison. Il adorait, depuis son départ à la retraite, faire de l’horticulture. Ivan alla dans la cuisine se servir un verre d’eau avant de le rejoindre. Il le trouva derrière une bute de fleurs, accroupi, entrain d’arracher les mauvaises herbes.
Ensemble, après s’être salué comme à l’accoutumée, ils prirent le chemin du salon. L’oncle d’Ivan invita celui-ci à installer ses affaires dans la chambre quand il vit la valise posée sur le sol de la cuisine. C’est pourquoi, avant le repas du soir, ses affaires furent rangées dans l’armoire. Ils préparèrent ensemble le dîner et s’installèrent à table devant la télévision qui diffusait les nouvelle du jour.
Le journal repassait en boucle des images satellites d’une pluie de météorites qui venaient de s’abattre au nord de l’Océan Pacifique. Cette nouvelle confirmait les hypothèses scientifiques de collisions entre des astéroïdes et la planète Terre. Bien que ce phénomène ne soit pas nouveau, son caractère inquiétant faisait frémir les esprits. Ivan, qui travaillait pour le service secret russe appelé FSB se sentit tout de suite concerné.
Pendant le repas, il ne parla quasiment pas. Son oncle était sous le choc. Ivan tenta de le rassurer, mais lui aussi n’était pas au meilleur de sa forme. C’est avec impatience que l’agent attendit la fin du repas, car il n’avait qu’une seule idée en tête à présent. Il devait téléphoner à Anna, sa collègue de travail, pour lui demander où en était l’état réel de la situation dans l’Océan. De plus, il pensait déjà revenir à Moscou.
Les lumières de la maison s’éteignirent progressivement. Il resta seul dans la cuisine, face à ses pensées. Ivan ouvrit les volets de la fenêtre afin d’admirer la vue sur la Volga. Il y voyait en elle l’Océan dans lequel la pluie de météorites était tombée. L’agent éprouva un soulagement soudain à l’idée que ces bolides se soient écrasés dans un endroit désert. Cependant, il ne serait apaisé qu’après avoir appelé Anna.
Il alla dans le salon pour prendre le téléphone fixe et l’emmener dans la cuisine, afin que son oncle n’entende pas la conversation. Ivan ferma précautionneusement la porte en laissant passer le fils en dessous. En composant le numéro, il se dit qu’elle ne serait peut-être pas chez elle, mais qu’importait, il se devait de tenter de l’appeler. Après quelques secondes, une voix féminine répondit à l’appel.
A cette heure là, elle avait déjà quittée son bureau. Anna se douta tout de suite du motif de l’appel téléphonique de son collègue à une heure aussi tardive.
- Ivan, je suis également au courant de la pluie de météorites qui s’est abattue au Nord du pacifique aujourd’hui. Notre étude sur les phénomènes climatiques planétaires est en lien avec cette nouvelle importante.
- Je pensais rentrer dès demain pour me pencher sur le dossier.
- Oui, c’est une idée.
Ivan sentit dans le ton d’Anna une certaine marque d’enthousiasme ponctué de réelle inquiétude.
Bien que leur conversation fût brève, il ne remit pas en question le fait de rentrer plus tôt que prévu. Seulement voilà, son oncle ne connaissait pas sa véritable activité professionnelle. Aussi, devrait-il trouver un prétexte inventé de toutes pièces pour justifier à ses yeux son départ anticipé. Son argument, après murs réflexions, serait celui-ci. Une proche amie allait accoucher prématurément et il lui avait promis d’être présent à l’hôpital pour lui rendre visite.
Cette nuit, il n’arriva pas à dormir, car des idées de fin du monde parcouraient son esprit. Il se releva et alla regarder la télévision dans le salon en baissant le son pour ne pas réveiller son oncle qui se faisait assez âgé à présent. Aucune chaîne ne traitait de l’évènement. Ivan repartit dans sa chambre, en proie à de multiples tourments jusqu’au petit matin.
Dès l’aube, il remit ses affaires dans sa valise, avant l’heure du petit déjeuner. Il se dit qu’il se reposerait pendant le trajet du retour, à l’idée de rentrer, car cette seule idée était reposante en soi, au vu de la nouvelle situation qui se présentait à lui. Peut être précipitait-il quelque peut son retour ? Il aurait l’occasion de repartir pensa-t-il. Sa voiture était garée devant la maison, dans la rue qui longe la Volga.
Ivan dit au revoir à son oncle après lui avoir bien expliqué que son amie allait accoucher ce soir d’après les médecins. Après avoir chargé le coffre du véhicule de ses affaires et lui avoir dit à bientôt, il se mit en route. Le trajet fut reposant. Il se permit un détour pour longer le cour d’eau afin de profiter du paysage.
Arrivé tard dans la nuit à Moscou, il ne lui restait plus qu’à défaire ses bagages et à méditer sur la question des météorites. La ville, illuminée de mille feux était malgré tout endormie. Le mieux qu’il lui restait à faire était de dormir lui aussi, car demain, il se rendrait à son travail pour faire le lien entre le problème de climat et l’impact des météorites sur la planète.
- Demain, j’achèterai le journal. Pensa-t-il à voix haute.
L’actualité y serait recensée et cette histoire serait traitée en détails. Ainsi il sera plus à même d’étudier et de faire des rapprochement avec ses dossiers en cours. Il ressentit subitement une vague de grande fatigue l’envahir, car cela faisait presque deux jours qu’il n’avait pas dormi. Cet homme âgé de la trentaine, d’allure assez robuste et au caractère relativement ferme s’endormit à peine allongé sur son lit, tellement la fatigue l’avait assommé.
Pendant ce temps, dans des bureaux annexes, Mike et John qui avaient l’habitude de traiter les affaires d’écologie et entre autre de réchauffement climatique furent interpellés par la nouvelle qu’ils apprirent depuis leur petit post de radio posé à même le sol au coin de la pièce. Il s’agissait d’une menace sans aucun doute. Aussi mettraient-ils leurs compétences en commun pour compléter plus vite le nouveau dossier qui leur avait été demandé par leur supérieur en chef.
Ancien agent du FBI, cela faisait bientôt dix ans que Mike avait intégré la CIA pour étudier les phénomènes climatiques à l’échelle internationale. Quant à John, bien que beaucoup plus jeune, il revenait d’une expédition scientifique menée au pôle Nord et ne craignait pas d’aller sur le terrain étudier et analyser les données requises.
Cette expédition avait eut pour rôle de mesurer l’impact de la fonte des glaciers sur les courants océaniques. C’est pourquoi, cette nouvelle qu’ils avaient apprise à la radio le touchait fort dans la mesure où les courants de l’Océan Pacifique Nord avaient reçu un choc certain. Ce nouveau facteur rentrait évidement en ligne de compte dans son étude. John ouvrit la grande armoire contenant les archives de ses travaux les plus récents pour en ressortir le compte rendu de l’expédition concernant les courants océaniques.
- John. S’exclama Mike.
- Oui
- Je viens d’avoir l’expert en météorologie. Nous allons connaître un pic de chaleur très important ce mois-ci.
John, interpellé par cette seconde nouvelle fit tout de suite le rapprochement entre l’instabilité climatique naissante et le crache des météorites dans l’Océan. Il referma l’armoire après en avoir soigneusement extrait le dossier en question, et revint s’asseoir en face de son collège de travail Mike.
Dès le lendemain, une lettre était posée sur leur bureau à chacun. En arrivant à leur travail, les deux agents restèrent perplexes face à ce courrier dont l’enveloppe était d’un vierge blanc. Ils ne mirent pas moins d’une minute à les ouvrir. Cette lettre signifiait leur départ imminent pour le laboratoire de recherche dans lequel John avait déjà étudié. Hier, en ressortant le compte rendu, c’est un peu comme si il avait deviné ce départ pour le Pôle Nord. Là-bas, ils seraient plongés au cœur du problème de la pluie de météorite liée à présent au problème du courant océanique, comme l’expliquait succinctement cette lettre.
Mike, malgré son âge, était ravi de partir avec son collègue dans un laboratoire si perfectionné et tout équipé. John lui avait déjà compté plusieurs fois le bon déroulement de son expédition. A présent, ce voyage devenait une réalité. Les deux agents firent alors du tri dans leurs affaires en prévision de leur absence prolongée. Ils rangèrent tous leurs dossiers sous clefs. La date du départ était pour la fin de la semaine.
En fin de matinée, ils se virent conviés à une réunion en salle de conférence, leur exposant leur programme d’action. Il était déjà dix heures et cet entretien de groupe ne commençait qu’à onze heures. Mike et John allèrent ensemble dans la salle de détente, prendre un café. Quand ils en poussèrent la porte, ils n’y trouvèrent personne et ainsi, ils discutèrent librement de ce nouveau projet autour d’une tasse de café.
- Le froid y est rude, mais nous partons à la bonne période. Il y fait jour. Dit John d’une voix de connaisseur.
- Combien de personnes accueille notre laboratoire ?
- A vrai dire sa capacité est assez réduite. Il y est surtout installé du matériel de recherche.
John tourna le sucre dans sa tasse et but son café. Cela faisait tout juste cinq minutes qu’il venait de s’asseoir quand la porte s’ouvrit.
L’heure de la réunion avait été avancée. Elle n’allait pas tarder à commencer. Un collègue était venu les chercher. Quand ils arrivèrent, ils prirent place autour d’une large table rectangulaire. Leur supérieur en chef commença à dresser l’état de la situation en marquant deux points important à retenir. Le premier était le phénomène et ses conséquences pour l’écologie de la planète. Quant au second point, il s’agissait de l’avancée technologique russe au Pôle Nord, qu’il ne fallait pas négliger dans la poursuite des travaux de recherche.
L’exposé relatait notamment le rôle prépondérant de la puissance du pays dans la conquête de l’espace notamment. Il visait à démontrer que les capacités technologiques ne devraient pas être remises en question, et par conséquent que leur mission se devait d’obtenir des résultats concluants. Il ajouta qu’il seraient tenus secrètement informés des travaux russes en cours portant sur le sujet, afin d’améliorer leurs propres résultats.
Il fut demandé à John de prendre la parole afin de faire dans un premier temps un court bilan de son expédition antérieur et dans un second temps de faire le lien en l’ancienne et la nouvelle étude. Le point fort que John mit en avant et qui concernait les deux études, était le facteur humain. En effet, qu’il s’agisse du réchauffement climatique ou du danger représenté par l’impact des météorites sur les courants marins, c’est le maintien en vie des populations qui importait.
La réunion toucha à sa fin. Chacun en fut fort satisfaite. Ils partiraient pour rejoindre leur base en avion dans deux jours. Ce court laps de temps serait tout juste suffisant pour qu’il puissent se préparer psychologiquement à entreprendre un tel déplacement professionnel. Heureusement, ils étaient tous deux célibataires, car Mike était divorcé et John n’avait jamais eut le temps de se pencher sur la question des amours.
De retour dans leur bureau, John montra à Mike une photographie de la façade extérieure du laboratoire et de l’ancienne équipe. Il ressemblait à un complexe spatial de deux étages de hauteur. Bien que sa surface ne soit pas très grande, l’agencement interne du mobilier le rendait très confortable. Il se composait de deux compartiments. L’un servait à loger l’équipe et l’autre à abriter l’ensemble du matériel de recherche.
ADAM et LE CHEF se font face dans une confrontation presque amicale. ADAM lui montre son papier. Puis EVE et ADAM sortent du bureau.
ADAM
(Voix off)
Mes vêtements sont dissonants sur cette planète.
Un vestiaire est prévu pour se changer. ADAM revêt une tunique de lin blanc légèrement décolleté et un pantalon noir à coupe droite. EVE porte un haut similaire et une jupe noire.
EXT.JOUR.
ADAM pose un pied en dehors de la structure, sur l'herbe bien verte. ADAM s'approche d'un oiseau mâle dominant la joyeuse chorale.
ADAM
(Un peu hésitant)
Pourquoi savez-vous parler le langage des êtres ?
Il insiste. L'OISEAU finit par lui parler.
L'OISEAU
(Dans une piaillement audible)
Ma langue date de l'origine de la création du monde.
Mais ADAM ne comprend pas car L’OISEAU
ADAM
(Voix off)
L'oiseau parlait en vérité un langage cosmique mais qu'il ne comprenait pas encore.
EVE prend ADAM par la main pour emmener ADAM au bord de la fontaine principale constituée de marbre blanc et rose.
L’Age d’Or
Cet Age tant attendu
Qui nous promet tant de vertus,
Que nous y voyons un trésor :
L’incarnation du Saint Esprit
Au plus profond des cœurs bénis
Serai d’une beauté sans pareil,
Serai la vie vraie, le Soleil.
Nous l’attendons avec espoir
Malgré que la nuit soit bien noire,
Nous espérons sans reculer
D’un pas. Tu es tant recherché
Que nos prières s’élèvent en toi,
Que nous t’attendons avec foi !
Décembre 2005
Nous allons voir plus précisément ce qu’est cette source. Elle est ésotérique et a deux principaux représentant que sont Jésus et Bouddha. Tous deux sont déjà entrés en incarnation au cours de l’histoire de l’humanité. Ils sont bien sûr très connus. Bouddha représente la sagesse exprimée en plénitude sur la terre. Jésus représente quant à lui l’amour de Dieu envers notre prochain.
Ils sont encore très souvent invoqués de nos jours par des demandes que nous leur adressons en tout authenticité. Symbolisant le pouvoir de l’amour et de la sagesse, une énergie bienfaisante peut provenir d’eux et s’incarner dans la matière de notre plan physique et terrestre.
Une partie des hommes fait encore, de nos jours, des demandes quotidiennes destinées aux représentants célestes de Dieu sur terre ainsi qu’à la hiérarchie angélique et archangélique. Quand nous demandons quelque chose, nous prions l’Absolu de nous aider à résoudre un problème, une difficulté. Notre difficulté est bien trop souvent d’ordre matérielle et peut concerner notre famille ou notre travail par exemple.
Quand j’emploie l’expression nous aider à résoudre un problème, je sous-entends bien sûr que Dieu a réponse à tout. Il ne tient qu’à nous, non seulement de lui demander quelque chose d’ordre spirituel ou matériel, mais encore d’attendre le temps de sa réponse, et également de savoir entendre sa réponse. Une prière qui ne porterait pas ses fruits est une demande à laquelle l’homme n’attache pas de réelle importance.
Toute demande sincère donne suite à une réponse, mais encore faut-il pouvoir là percevoir. Nous pouvons la percevoir par le biais de l’observation ou par le biais de l’inspiration. Elle peut être exprimée avec plus ou moins d’explicitation.
Pour que Dieu accède à notre demande, il faut que la réponse possible à celle-ci soit en harmonie avec le plan de Dieu. Quelle liberté reste-t-il à l’homme, si la demande ne se manifeste dans le plan terrestre qu’à partir du moment où celle-ci est en harmonie avec le plan de Dieu ? Et bien, nous avons encore la possibilité de choisir quel va être notre demande, que l’on adresse à Dieu lui-même. Nous pouvons évidemment formuler plusieurs demandes afin d’avoir une chance plus grande de réponse effective à nos prières.
Une demande qui est en harmonie avec le rythme universel est une pensée ou un ensemble de pensées qui ont pour origine première le centre de la source universelle d’amour inconditionnel et de sagesse ancestrale.
Pour que notre prière soit en harmonie avec le plan de Dieu, il faut que le sens de direction de la réponse attendue par l’homme, vise cette source. Pour ce faire, il nous faut avoir pour objectif le suivant : Tendre à contribuer à la manifestation de toujours plus d’amour et de sagesse dans notre plan physique et terrestre.
En parlant d’objectif, je pense aussi à un penchant naturel qui est au centre de chacun d’entre nous à ne rendre que meilleur le monde dans lequel nous vivons. Celui-ci ne sera pas meilleur sans nous. Soyons bien conscient de cela. La marche générale de la vie remplie d’amour et de sagesse, autrement dit l’évolution ascensionnelle, ne peut se faire qu’avec la contribution libre et volontaire d’esprits incarnés et de bonne volonté, désireux de rendre le monde plus vivable et plus agréable.
Notre évolution est ascensionnelle, car l’humanité tend à manifester globalement l’amour et la sagesse avec toujours plus d’intensité. Cette augmentation de l’intensité d’expression de l’amour et de la sagesse engendre des actions de bonne et de juste volonté.
Les hommes de bonne volonté sont les mieux placés pour intercéder auprès de Dieu, notre Créateur. Que signifie être de bonne volonté ? C’est avoir choisi comme chemin de vie, celui qui va de l’homme à la source universelle d’amour inconditionnel et de sagesse ancestrale. Avant d’être réellement de bonne volonté, nous devons au préalable, nous être demandé très sérieusement ce que représente selon nous et d’après notre vécu à chacun, notre vie et celle des autres qui comme nous peuvent se poser la même question.
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